Gérer un cheval : rester zen sans être spectateur

Il s’emporte, il se cabre, il trottine, il paddocke, …

Plus vous serez calme, plus vous serez lucide.

Plus vous serez calme, plus vous serez confortable pour lui.

Mais il ne s’agit pas d’être inexistant, spectateur de la scène. Il faut agir avec à propos, dans un bon timing, de manière claire, logique, sans laisser le cheval monter en pression, grisé par son propre énervement.

Être zen dans la tête, mais vif dans les gestes, exigent, juste.

Dès que le cheval est calmé ou revient vers soi, on lui donne tout le confort possible, on oublie tout et on caresse, on reprend plus doucement, en décomposant au maximum car l’évènement passé nous a permis de mieux anticiper les écarts suivants.

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L’épaule pour l’équilibre

L’épaule interne du cheval qui s’efface devant le mouvement de l’humain.

Plus de respect, plus de sécurité : on élimine le risque de se faire écraser les pieds.

Pour préparer l’envoi sur le cercle, pour travailler l’équilibre en douceur en abordant l’épaule en dedans.

Se grandir, pousser le cheval au niveau du passage de sangle et avancer vers lui comme si vous pouviez le traverser, pour le voir se déporter dans le mouvement, sans besoin de contact ni de tension.